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 | | Sujet: La plage est un endroit où il est séant... de le montrer ♠ Thomas. Mer 8 Sep - 6:38 | |
|  &&.  ©Datura & fabi7@_lj La plage est un endroit où il est néant...de le montrer.
« Qu'est ce qu'elle a encore ta bagnole ? Tu as voulu y toucher une fois de plus et cela n'a rien arrangé je suppose ? » Ayant cette passion pour la mécanique, j'étais la première personne que mon entourage venait voir lorsqu'il y avait un problème en dehors de mon paternel. C'était lui qui m'avait refouler cette passion et je le remerciais énormément. La mécanique était une façon de m'évader. Oublier un peu tout ce qui m'entourer en dehors du travail. D'ailleurs la matinée se résumer à un mot : désastreuse. Le travail m'avait épuisé, ces derniers temps je ne supportais plus les clients, ils étaient d'une humeur plutôt désagréable. Entre les remarques, les demandes pressantes, je ne savais plus ou donner la tête. De plus, je me faisais sermonner par le gérant du restaurant, j'avais eu cette envie de l'envoyer voir à ailleurs mais, il me fallait ce travail, bien entendu j'avais toujours mon travail en tant que model à coter mais, celui n'était pas à temps plein. Malgré tout j'avais fait pas mal de rencontres avec ce travail. Alors, je m'efforçais de réparer cette voiture assez vite, si je le pouvais, car parfois les voitures étaient tellement abîmées que la casse était leur dernier recourt, je me demandais ce que les gens pouvaient faire avec ces machines, il fallait en prendre soin mais, eux s'en fichaient royalement apparemment. Personne ou presque ne comprenait ma passion sauf mon père et ce garçon répondant au prénom de Thomas. Charmant jeune homme que j'avais rencontré sur mon lieu de travail, j'avais parlé durant des heures en sa compagnie.
Nouveau message :Presley, tu travail cette après midi ! J'étais prête à assommer ces personnes qui arrivaient toujours à rendre mon moral au plus bas, je n'avais qu'une seule envie, dormir. Ou aller me balader, ne plus voir ces personnes. Le restaurant était un endroit que je ne supportais plus vraiment, d'ailleurs lorsque je voulais sortir manger dans un restaurant j'évitais absolument de m'y rendre, quoi de plus terrible que de se trouver en permanence sur le lieu de notre travail. Je patientais en servant les gens que les heures défilent, c'était une très grande pénurie. Néanmoins, je gardais le sourire, c'était la meilleure chose à faire si je ne voulais pas me faire virer. Lorsque j'avais terminé mes heures, hurler le mot victoire me brûler les lèvres mais, je restais sage. Un peu de discipline comme dirais mon cher paternel. En reprenant la route qui menait jusqu'à mon domicile je manquais de percuter une autre voiture juste devant quel crétin celui la de freiner ainsi, les reflex étaient assez durs avec la fatigue présente. Une seule envie : Passer un bon moment. Une fois la douche prise, j'étais d'un grand dynamisme, hélas je trouvais le temps bien trop long et je ne n'appréciais guère la solitude.
Je désertais mon appartement après m'être habiller de façon convenable, la route fut bien plus longue que je ne l'imaginais. En arrivant, le sourire fut de nouveau présent, j'adorais ce paysage, le soleil couchant, le sable encore chaud de cette chaleur insupportable qu'il y avait toute la journée. Face à l'eau de la plage, je contemplais le paysage qui s'offrait à moi. Il était rare de me voir en pleine journée à ce lieu, je n'aimais pas énormément tout le monde qu'il y avait alors, j'en profitais le soir surtout après une journée de travail intensif, il ne manquait qu'une personne. Enfin, je me devais de ne penser qu'à ce sentiment qu'est l'amitié et pas à autre chose à son égard. C'était une chose bien difficile à effectuer, d'autant plus que nous avions pas mal de point commun et que sa présence me procurer beaucoup de bien. Cela je me devais de le garder pour moi. Des pensées, des songes, voilà ce que je fessais au bord de l'eau. Ce fut la température de celle-ci qui me tira de mes songes. Une silhouette qui ne me semblait pas inconnu se trouvait non loin de ma personne. Ma curiosité était un vilain défaut, ce qui m'amena à m'approche de lui. « Mais, que vois-je, monsieur Delacroix, sur la plage... Ce ne sont pas les filles qui se baladent ici le soir généralement ? Alors, qu'est ce qui t'amène dans ce lieu que je dirais paradisiaque ? » lançais-je sur un ton amusé.
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