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 Dis moi que je ne rêve pas ... Lysandre !

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MessageSujet: Dis moi que je ne rêve pas ... Lysandre !   Dis moi que je ne rêve pas ... Lysandre ! EmptyLun 14 Fév - 10:34

Dis moi que je ne rêve pas ... Lysandre ! S3kgvm

Ces plaisirs violents, on des fins violentes dans leur excès ils meurent, tels la poudre et le feu que leur baiser consume. J’observais cette citation du célèbre Shakespeare, écrite noir sur blanc dans l’un de plus beau roman tragique de ce monde « Roméo et Juliette » à mon grand étonnement, je ne me lassais pas de lire et relire ces lignes avec une certaines émotion à chaque fois. Loin de l’idée toute faite, de l’émotion éternel d’un amour brisé, je voyais cette histoire comme une pure vérité de ce que représentais le sentiment de l’amour, charnel, incompris et impossible. i a-t-il rien qui ne fut véridique dans la beauté de l'amour passionnel qui lit Juliette à son Roméo. Et si nous ne sommes en aucun cas certains de la véritable identité de son auteur, il est pour autant d'une évidence certains que la beauté de la langue de mérite pas son dénigrement. Les imagines clichés des romantiques guimauves qui de nos jours se lèchent le visage en publique, souhaiteraient trouver un semblant de comparaison dans la prose de l'auteur anglais. Il n'en est cependant rien, et l'amour qui lit le couple maudit n'a rien qui ne fut comparable à l'envie sexuelle de ne pas être seul dans la société dans laquelle nous vivons à présent. Juliette, à la vue de son Roméo, n'est plus Juliette. Il y a tant de différence entre la jeune Capulet qui se trouve être vierge d'une tendresse religieuse, prête à tout pour complaire à son père et aux demandes de sa mère. Elle devait se marier à Paris, dans l'optique de garder pour les Capulets, la richesse des Capulet, jaloux de la convoitise des Montague. Pourtant rien ne saurait la défaire de l'emprise que Roméo a sur elle des le premier regard. Vivant soudainement, prenant en main sa vie pour en faire ce que bon lui semble, elle l'offre à celui qui vole son âme, son être et son cœur dés le premier regard. Le coup de foudre, le vrai, celui qui lit les âmes à jamais dans une passion destructrice qui ne sauraient les lier que dans la mort. Mortelle, toute passion est mortelle, et il n'en ai aucune qui ne puisse survivre à l'éternité. Les Hommes, faibles, ne survivent pas à de tels émotions qui déchirent les entrailles, et qui rendant à nue l'être que nous sommes réellement. Juliette n'est alors plus elle, elle est la Juliette de Roméo, et ce simple déterminant possessif ne saurait qu'illustrer une idée bien trop abstraite pour que de simples mots puissent la faire naitre. La Juliette de Roméo ou la Scarlett de Matthys ...

La saint valentin avait lieu ce soir et encore une fois je la passais seule, j’en venais a pensé que je devais être maudite, j’avais passé 24 saint valentin seule. En réalité soit je rompais avant ou soit je trouvais « l’amour » après ce jour la mais je ne voyais pas tant de problème à cela ; trouvant cette fête un peu trop commercial et sans grand intérêt. Un bal avait lieu et j’y été dans le seule intérêt de faire plaisir à Chloé. Mon nombre de sorti se faisant très proche de zéro dernièrement. J’avais opté pour une robe rouge très jolie, laissant mes cheveux tombaient, légèrement ondulés, un maquillage fin et noir. J’arrivais rapidement à la salle.

« Bonsoir … Scarlett Shepperd »

Je souris au vigil de l’entré avant qu’il vérifie que mon nom soit sur cette stupide liste. Par pur hasard je tournais la tête le temps de cette vérification et mon cœur fit un boom si fort que j’eu presque la sensation de tombé sur le sol. Je ne bougeais plus, le restais la bouche bée à fixait l’homme en costume devant moi, ces grands yeux bleus se plongeant dans les miens. Mon souffle ce coupa quelques instant. Il approchait et j’avançais vers lui, posant mes yeux sur lui, c’était impossible.

« Lysandre … je ne rêve pas ? »

Murmurais-je en déposant ma main sur lui, c’était vrai, je sentais son contact sous ma peau et ce n’était pas possible il était mort, il était censé être mort. Je reculais et le fixais.

« Tu es mort ! Qu’est ce que c’est que ça ? Tu te fou de moi c’est ça ? C’est quoi une blague ou un jeu stupide, ou encore mieux elle est ou la caméra c'est un really show ? »

Je ne savais pas quoi dire ou quoi faire mais en sa présence et comme toujours notre relation était explosive.
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MessageSujet: Re: Dis moi que je ne rêve pas ... Lysandre !   Dis moi que je ne rêve pas ... Lysandre ! EmptyDim 20 Fév - 1:57

Depuis mon retour en Australie, j’avais décidé de me réinvestir un peu dans la vie sociale de ma ville natale. Une bonne occasion s’était présentée à moi, le bal de la Saint-Valentin. En me promenant dans la rue, j’avais pu remarquer une affiche dans la vitrine d’un magasin. C’était l’opportunité idéale pour faire mon grand retour auprès de la foule. Je sortis vite mon portable et téléphonai au numéro indiqué sur l’affiche afin de confirmer ma présence.

Je filai donc dans un magasin de costume afin d’y dégotter une tenue de soirée potable. De plus, avec ma prime de départ de l’armée, j’avais de quoi m’acheter un magnifique costume. Bien évidemment, je ne comptais faire mon dandi et débourser tout à la moindre occasion, j’avais de bien meilleurs projets ! Tel que garder une bonne partie de la somme pour Léopoldine et son avenir. J’avais appris l’existence de mon enfant en direct il y a une semaine, c’était la plus belle chose qui pouvait m’arriver après la rencontre de Chloé. Evidemment, le choc et l’encaissement avait été assez compliqué mais désormais j’étais conquis par ma petite demoiselle. Ce qui était dur à réaliser était que je n’avais pas assisté à la grossesse de ma femme ni à la naissance de Léopoldine et je n’avais pas eu mon mot à dire en ce qui concernait le prénom. Je le trouvais très original et très joli mais je passais que le combat entre les deux futurs parents à propos de ce choix était primordial dans le sens où c’était une étape importante mais je l’avais manquée, cette étape comme beaucoup d’autres. Je n’en voulais à personne sauf à moi.

Bref, après plusieurs essais avec le tailleur, je choisis un costume classique mais qui avait un charme fou quand je le portais. Rah je sais, je suis canon. Bon suffit d’être macho et sortis du magasin avec mon costume sur le dos car il était déjà presque l’heure. La vendeuse avait eu l’extrême gentillesse de me prêter la minuscule salle de bain du magasin afin que je me prépare. Je passai en vitesse chez le coiffeur pour ensuite filer à cette soirée.

Une fois arrivé, je me rendis près du virgil afin de pouvoir entrer. Mon nom était sur la liste, apparemment, je n’avais pas réservé trop tard.

Je me dirigeai vers l’entrée de la salle quand j’entendis une voix qui m’était particulièrement familière. Je n’en crus pas mes oreilles, ce n’était pas possible de l’entendre ici, à mon avis je devenais fou. Je voulais tellement la retrouver que j’entendais sa voix. Cette voix féminine prononça son nom, et c’est à ce moment que je me rendis compte qu’elle était bien là. Je m’étais retourné et elle m’apparut comme un petit ange. Je souriais dans le vide. Je me souvenais de ces moments passés avec elle, nos relations étaient toujours électriques mais on s’aimait tant même si elle ne voulait pas l’admettre devant moi. J’avoue que j’ai toujours été un taquin avec elle et je n’arrêtais pas de me mêler de ses affaires, ce qui avait l’effet de l’énerver.

Elle tourna la tête et je lu dans son regard qu’elle m’avait bien vu. Elle était aussi pétrifiée que Chloé ne l’avait été. Je savais ce qui s’était passé, elles me croyaient mort mais c’était une grosse erreur de la part de l’armée. Cela me blessait un peu que mes supérieurs me croyaient assez faible pour ne pas revenir mais je leur avais prouvé que je ne baissais pas les bras.

Je m’approchai d’elle et Scarlett en fit de même. Je ne répondis pas tout de suite et la laissai me toucher afin qu’elle vérifie ce qu’elle avait à vérifier, c’est-à-dire, étais-je vraiment là ? J’avais une sorte de rire intérieur, voir la tête des gens quand ils pensent revoir un mort vivant était assez marrant mais sadique, je dois l’avouer.
Quand elle commença à se demander si c’était une blague de mauvais goût, je levai mes yeux au ciel pour ensuite les plonger dans les siens.

-Eh oui, tu sais très bien que je suis mort mais je viens te hanter car je sais que tu n’as personne pour la soirée de la Saint-Valentin comme d’habitude. Donc je viens te tenir compagnie. Tu devrais me remercier !

J’espérais qu’elle avait remarqué mon air sarcastique et déplacé car je ne voulais pas non plus la traumatiser à vie. C’est pourquoi je préférai contredire ce que je venais d’annoncer.

-Mais non Scarlett, je suis bien là. J’ai eu quelques petits soucis en Israël et ils ont cru que j’étais mort mais c’est faux, je suis là maintenant… Je vais pouvoir te re-pourrir la vie !

Dis-je en riant mais je savais qu’au fond d’elle, elle n’avait qu’une envie : me frapper. Je la connaissais par cœur, elle était en train de me maudire d’avoir disparu pendant de longs mois. Et je la comprenais.

HJ : Je suis désolée d'avoir trainé ^^
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MessageSujet: Re: Dis moi que je ne rêve pas ... Lysandre !   Dis moi que je ne rêve pas ... Lysandre ! EmptyMar 22 Fév - 1:11

La vie n’est pas simple, le destin non plus et un jour les choses changent. La solitude s'installa presque naturellement autour de moi. Cela me parut si habituel que je ne cherchais pas à savoir comment cela se faisait il que ce parc, d'habitude surchargé d'hommes et de femmes, était maintenant désert. Seul le souffle du vent faisait échos à mes pas. Et je trouvais alors que je ne devais montrer aucune grâce dans ma démarche à cet instant. Ce pourrait expliquer le fait que de plus en plus j'étais devenue la seule ombre entre ces arbres. Pas un bruit, sauf le murmure des feuilles dans les arbres, et les hululements d'une chouette au loin. Très loin. Pourtant, tout cela me convenait parfaitement. Je n'aimais pas vraiment m'entourer, et cela expliquer le fait que je baladais ma carcasse vide de toute compassion et gentillesse, seule, à travers le globe. Je n'avais pas était toujours ainsi. Je me souviens une époque où les soirées mondaine, et les sorties entre "amis" me rendait ivre de sensation, et d'envie. Mais tout à changer, à cause d’un homme. La mort de Lysandre avait fait de moi la femme qui se trouvait la aujourd’hui, une femme morte, sans cœur. Il fallait bouger, sortir, et sans doute penser essayer pour fois d’être calme. En réalité la femme douce forte, souriante, énergique et folle était devenue triste et délaissé. Je ne l’avais jamais avoué, à personne, je n’avais jamais prononcé ces mots à haute voix mais mon frère me manquait, Lysandre, celui qui me taquinait et me rendait folle depuis ma naissance me manquait et je ne pouvais rien faire contre ça. Tout était devenu réel le jour de l’enterrement de Lysandre, le jour ou je lui avais dit au revoir.

Je fixais le corps en face de moi, revoyant chaque moment de notre enfance défiler devant moi, du jour ou je l’avais appeler Lys pour la première fois, du jour ou je l’avais frappé pour la première ou encore celui ou je lui avais confié que j’étais amoureuse pour la première fois. Lysandre avait cette place dans ma vie, si forte que je pensais même que nous étions jumeaux parfois, nous étions les mêmes c’était sans doute l’une des raisons qui faisait nos plus grandes disputes et nos énormes moment de crise. Notre relation était si fusionnelle que je pouvais encore entendre les cris stridents de nos parents nous supplier d’arrêter de hurler. Mais sans lui c’était différent, le monde semblait vide et étrangement silencieux. Je fixais le corps en face de moi, ce n’était pas possible, il était mort. Il parla, je fermais les yeux, c’était lui j’aurais reconnu cette voix parmi des millions, je n’avais pas besoin de voir pour savoir que c’était lui.

« J’ai personne pour la St Valentin qu’est ce que t’en sait d’abord ? Tu crois que je suis trop bizarre pour avoir quelqu’un ? Ah oui je ne suis pas aussi parfaite que le grand Lysandre Shepperd »

C’était tout nous, une pseudo guerre de pique et de taquinerie. Savoir qui gagnerait été perdu d’avance car au fond cela n’avait pas d’importance. J’étais partagée avec le battement de mon corps trop fort, j’avais une bouffé de bonheur qui me gagnait, il n’était pas mort et l’espace d’une seconde mon monde devint plus calme et s’éclairci. Je ris doucement, soupirant, c’était bien lui, son petit air sarcastique, son arquement de sourcil, il était vraiment la.

« J’aurais du y penser, ya que toi pour me faire des trucs pareil ! T’es vraiment un idiot Shepperd … mais bordel ce que tu m’as manqué … Si tu répète ça à quelqu’un je te tue ! »

C’était ironique mais je n’avais jamais eu le courage d’avouer à quelqu’un qu’il me manquait. Je baissais les armes, je ne voulais plus me battre. Je souris de plus belle, le serrant de toutes mes forces dans mes bras. J’avais imaginé cet acte pendant des semaines, je respirais son odeur et tout devint plus simple. Je me sentais de nouveau en sécurité même si j’avais dans l’attention de lui faire gentiment payer ces actes et son absence même si au fond il n’y était pour rien. Je pensais à Chloé et à ma nièce me demandant s’il avait croisé sa petite fille.

« Il faut qu’on aille voir Chloé, elle va être si heureuse, tu lui manque beaucoup … je comprend pas ce qu’elle te trouve mais bon … Oh et tu a une fille, c’est un ange, une merveille tout sa tante quoi »

Je plaisantais, c’était une pique encore une fois, une habitude. Je n’osais pas imaginer la scène, ignorant qu’il l’avait déjà vu quelques temps auparavant mais bon sang ce que je voulais que tout aille bien maintenant.
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